Une soirée comme les autres...

Stravok se contenta de cette reponse brieve et continua la conversation pour occuper le temps.

Est-ce que vous avez descontacts fiable pour se que mon ami recherche, jolie demoiselle?

Sith sembla rester inerte, mais son sang a l'intérieur bouillait, un peu de salive coulait le long de ses crocs qui était sortis. Il avait apercu du coin de l'oeil, un reflet inhabituel dans les yeux de la dame a coté de lui. Sith en avait donc conclu que ce que la dame qui était sortie avait dit était méchant et surtout déplacer. sa pattes droite qui était sur le bar à se moment la commençait tranquillement a gratter le comptoir, creusant le bois sans le moindre effort, laissant le fillament glisser en dessous de son ongle. Il se leva d'un bon agripa son épée, laissa sa queue sortir de son vêtement signifiant qu'il était vraiment en colère. Il s'approcha doucement de Lily.

- Je revien, Pas longtemp, dit-il en arrachant un des nombreux médaillons qu'il portait au cou, en le lui tendant il rajouta, Je viendrais vous payer un autre .. Vodk..a a mon retour

[i] Sur ses mots , il se dirigea vers la porte, d'où la dame avec quitter, en furie totale, les muscles tendu au maximum. Il quitta l'auberge tout en criant fort dans sa langue maternelle " ne me suis pas" a l'intention de Stravok. il déplia ses ailes et s'envola sur les traces de la femelle qui avait blesser son amie, encore incertain de ce qu'il allait lui faire.

Stravok ferma les yeux lorsqu'il sorti et entendit les paroles.

Bon, il a compris en gros les paroles. J'espère que la dame qui est sortie sait se défendre un minimum.

M., le problème est maintenant rendu en-dehors de votre place, donc je ne suis plus responsable de ses actes.

Mademoiselle, je crois que mon ami à une très grande affection grandiose à votre égard. Il a un cœur pur en or mais ne contrôle pas ses émotions complètement. Donc, ne soyez pas apeurer de lui il nous fera aucun mal, même si vous le fuyez et que cela l'attriste. Il va vous laissez seul si vous le désirez.

Sur ce, Stravok se tut et regarda par la porte et espérait que le minimum de grabuge arrive, soit aucun mort sinon peut-être un ou deux.

Stravok se leva de son siège et alla rejoindre les banc du bar. Il demanda son éternel verre d'eau et continua la discussion.

Venez pas me dire qu'il n'y a pas de meurtres qui parcourent dans la ville? Partotu il y en a mais comme je vous ai dit, je me tenais responsable de lui à l'intérieur de la bâtisse seulement et il m'a clairement dit, dans notre langue, que je ne devais pas le suivre.

Stravok regarda la jeune femme siroter la Vodka et se demanda si s'était bon mais n'osais pas en demander.

C'est juste qu'on m'a expliquer que l'on pouvait faire des actes irreflechi avec de l'alcool et devenir agressif. Sinon devenir plus apte au desir charnel et perte de memoires des moments passer dans les moments en etat debrieter. Aussi a ce que je me rappel, ce n'est pas la meilleur ville, ni l'endroit et je n'ai pas de chambre alouer pour la nuit , dit stravok d'une petite voix en regardant don verre d'eau entre ses mains.

Se sentant un peu intimider

Je prendrai bien un verre mais en autant que j'aie une place pour dormir, ici, dans cette taverne.

Oui... J'aimerais bbbbbien. Dit-il intimidé. Si vvvvous vouler pas ddde grabbbuge, vvous en aurrez pas. Dddemander a Mmm. ici si jjj'ai fais quelque chose qui pppourrait avoir attrait à la vviolence....

Tout le long du discours, il dendinait sur une jambe et l'autre, car il se sentait intimider ainsi que trop bien entouré de belles jeunes dames. Il regarda tout au long de son pourparler ses pieds.

Stravok écouta la jeune maitresse des lieux, regarda son ami entré et se retourna vers la femme hybrid.

Comme vous pouvez le voir, je ne suis pas violent, je n'éclate pas en colère parce que je n'ai pas se que je veux, je bois de l'eau pour être sur que je ne fasse aucun problème dans votre établissement et je vais vous parlez un peu de nous deux.

Moi, je suis un renégat de ma race. J'ai été élevé par des renégats et je vis comme tout être qui répugne les Omérisses sadiques ainsi que je respecte toutes les lois de chaque ville.

Lui, il est un Omériss sauvage qui ne connait que notre langue, celle des Omérisses. Moi j'ai appris la commune et je connais quelques mots dans les autres. Il ne suis pas les concepts de notre "peuple" mais les siens. Je l'ai pris sous mon aile pour lui apprendre les lois et coutumes de chaque ville et de lui montrer ce qu'il est juste. Il a surement faites une scène, à l'extérieur, et je ne l'ai pas empêcher car il me l'a demander de ne pas intervenir.

Il boit une gorgé d'eau.

La demoiselle qui est venu vous chercher a offenser la jeune Lily ici présente et mon ami, Sith, la trouve très gentille et la prends comme amie. Comme j'ai dit plus tôt a votre barman, je prends responsable de ses actes à l' INTÉRIEUR de votre taverne et tout endommagement je le repayerai et j'en prendrai toutes les conséquences.

Je ne demande qu'un feu pour se réchauffer, un ou deux chambres si possible, un repas soir-matin et le lendemain on part. Dites-moi votre prix vous acceptez, si le contraire dites nous quand nous devons partir.

Il prit un autre gorgé et attendit la réponse de la maîtresse des lieux.

Bien dit, prononciation a corriger mais bien dit.

Korinne comprit peu de quoi le jeune Omériss parlait. Elle ne le suivait pas dans son raisonnement, ni pourquoi il parlait à la troisième personne par moment. S'appellait-il Sith ou Axel? Enfin Bref... elle était lasse de tous ces raisonnement, mais l'Omériss avait l'air sincèrement navré. Elle décida donc de conclure un accord avec Stravok...

- Bon... Nous dirons donc que je vous laisse dormir ici une nuit, une seule. Vous n'aurez qu'une chambre pour vous deux, mais vous paierez tout de même le prix de deux chambres. Vous pourrez bénéficier du repas du matin, mais il faudra que Sith répare les dommages qu'il à fait à nos arbres. Il lui faudra en planter d'autres et tenter de replanter ceux qu'il à déraciné. Et si vous faites le moindre dommage supplémentaire, vous ferez face à ma justice, ainsi qu'à celle du village.
Ais-je été claire ?

Elle regarda les deux Omériss. Elle se montrait surprenament clémente ce soir.

Merci et aucun problème. Tout est compris et sera fait.

Il se tourna et invita Sith à saluer en baissant le tronc seulement, une main sur le coeur, en guise de remerciment envers cette faveur accorder, normalement... inexistante.